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(Gadriel) synopsis
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Sue-Jean Burke
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Sue-Jean Burke
Pseudo : Marnie/elle
Faceclaim : Han hyo joo
Présence : Présent.e
(Gadriel) synopsis  Tumblr_inline_pdxss9UUyI1txm9sv_400

Âge : 36 ans , le temps file même si elle considère que c’est une preuve qu’elle ne s’est jamais ennuyée.
Statut civil : Célibataire, elle à quelques aventures ci et là, jamais rien de trop sérieux. Elle n’est pas du genre a courir après l’amour, elle se fait passer en premier.
Métier : Luthière et ébéniste d’art. Elle travaille pour elle même et c’est un métier qui la passionne toujours comme au premier jour.
Habitation : Une petite maison avec une dépendance qui sert d’atelier dans otter creek.
Warnings : Aucun, sage place en vue.
Messages : 15
Ce n’était pas un manque de contacts sociaux.
Malgré sa franchise et son pragmatisme qui pouvaient se montrer dérangeant, Sue-Jean Burke était un véritable papillon social et fréquentait toute sortes de personnes. Elle ne manquait pas ni d’amis, ni de connaissances. Elle aimait seulement aller au restaurant seule, comme elle aimait aller à toute sorte d’endroits seule. La jeune femme faisait partie de cette poignée d’individus qui appréciaient réellement leur propre compagnie. C’était ce qui l’avait poussée ce jour-là à quitter l’atelier pour aller manger dans le centre-ville. Elle avait pris le temps de se balader sur le front de mer et de sentir les embruns avant de choisir un petit restaurant qui proposait une grosse carte végétarienne. Elle aurai aimé dire qu’elle l’était, végétarienne, mais elle se contentait pour l’heure de réduire sa consommation de produits animaux. Qu’importe, elle avait passé la porte de l’endroit et elle avait choisis une table proche de la fenêtre pour avoir le loisir de regarder la vie qui se déroulait inlassablement dans la rue.

elle songeait à comment sa carrière avait évoluée depuis qu’elle s’était installée à Bar Harbor et devait admettre qu’elle avait pris une décision risquée mais qui avait été payante. Elle vivait de sa passion, de ses passions en réalité ( le travail du bois , et la musique) dans un cadre qui avait tout de paradisiaque, loin de l’agitation des grandes cités, loin du vacarme et entouré d’une nature qui était ahurissante de beauté et de force. Elle avait pris une bonne décision. Quand elle avait terminé son contrat à Julliard, Sue avait envisagé de rentrer en Europe. Ses parents y profitaient d’une retraite bien mérité entre Séville et les Baléares, elle y avait certains de ses meilleurs et de ses plus vieux amis. Elle connaissait bien les lieux et elle avait pour les villes et les rues de ces dernières une affection toute particulière. C’était d’ailleurs dans l’optique de retrouver ce sentiment si profondément intime qu’elle avait débarqué à Bar Harbor six ans plus tôt. Elle avait des souvenir tout aussi intense en ces lieux et elle avait voulu donner une chance à cette île. Pour savoir si elle était aussi incroyable que dans ses souvenirs.

Et elle l’était.

bien entendu, quelques fois , ses proches lui manquaient terriblement. Elle essayait de leur rendre visite au moins une fois par an , quand eux ne venaient pas. L’année précédente ils étaient partis faire une croisière en voilier dans les Canaries , elle , ses parents et Arden. Le grand amour de sa vie. Elle n’avait pas peur de le dire. Le jeune homme avait changé toute sa perception du monde quand il était entré dans la famille et elle se sentait particulièrement proche de ce petit frère qu’elle avait espéré pendant quatorze ans. Elle ne pouvait pas, avec des mots, décrire ce qu’elle avait ressenti quand elle l’avait tenu dans ses bras pour la première fois.

son repas terminé , la luthière s’offrit une balade digestive. L’avantage d’être son propre patron c’est qu’elle pouvait déterminer elle-même ses propres horaires et à l’heure actuelle , elle n’avait aucun retard à déplorer, elle avait même de l’avance sur ses projets personnels , alors elle pouvait se permettre de prendre son temps. Elle avait laissé ses pas la traîner jusqu’à Somesville qui était sans doute l’endroit qu’elle fréquentait le moins, enfin une de ses amis vivait dans le coin, mais elle ne se rendait pas fréquemment chez cette dernière. Qu’importe.

Sa présence télescopa tout le reste.

elle aurai reconnu sa silhouette entre mille autres. Bien sur il y avait quelques éléments qui étaient différents par rapport à la dernière fois qu’elle l’avait vu, il lui semblait que les cheveux étaient plus long désormais. L’énergie qu’Il dégageait semblait plus ténue qu’à l’accoutumée , mais c’était sans importance. Sue-Jean trottina en direction du garçon qui se trouvait à quelques mètres devant elle et sans prévenir, elle enlaça son dos, le percutant avec un peu de brutalité.

c’est l’odeur qui aurait dut lui mettre la puce à l’oreille, mais elle était trop emballée pour y penser.

« Arden Burke ! Combien de fois je t’ai dit de te tenir droit?» elle avait soufflé. Sa voix , un peu grave pour une femme de sa stature était chargée de rire et d’émotions. La jeune femme le lacha et agripa son bras pour le faire pivoter et dévorer son visage des yeux. Il semblait en état de choc. Elle songeait qu’il ne pouvait pas être déboussolé au point de ne pas reconnaître sa sœur. Sa seule et unique sœur. Celle qui avait changé ses couches et lui avait donné le biberon pendant des années. « Qu’est-ce que tu fais là ? Quand est-ce que tu es arri-…vé…? » ça l’a frappa enfin comme la foudre et elle reculât d’un bon pas pour faire le point sur la situation. C’était elle qui avait perdu l’esprit. « Oh mon dieu. C’est une méprise .. » comment est-ce qu’elle avait pu les confondre? Bien entendu ce garçon lui ressemblait comme une empreinte , comme sorti du même moule. Pourtant , il n’était pas Arden. Il en avait le visage, la taille , la couleur clair de ses yeux , la forme de son nez ou celle de sa mâchoire. Et pourtant il dégageait quelque chose de si profondément différent.

« Vous ressemblez vraiment beaucoup à mon petit frère. Vraiment, vraiment beaucoup trop.» elle admit avant de tendre sa main en guise de salutations plus polie. « Je suis Sue. Vous êtes en vacances ici ?…cette situation est tellement improbable. Ça vous tente de boire un café ? Pour me faire pardonner de ma façon si cavalière de vous avoir enlaçé. »

et puis il faudrai qu’elle lui montre une photo d’Arden.
il était certain qu’il comprendrai son trouble a la vision de son doppelganger.
@Gadriel Eldrik
Gadriel Eldrik-Snows
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Gadriel Eldrik-Snows
Pseudo : Naoma
Faceclaim : Manu Rios (avatar par darleygraphs)
Présence : Présent.e
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Âge : 22 ans
Statut civil : Célibataire
Métier : étudiant vétérinaire/ plongeur au Harmony Heights
Habitation : Appartement à Somesville
Warnings : Maladie mental / addiction / mutilation
Rp : 6/6 RP en cours

Recherches : Il vient d'arriver en ville, je recherche donc de tout !
Messages : 61
Longue journée de cours pour le brun, avec le changement d’université, le brun avait un peu trop à gérer à son goût. Nouveau bâtiment à apprivoiser, nouveau professeur, nouvel emploie du temps, changement d’organisation des programmes. Avec tout ça, il repart du campus avec un tri à faire sur ses retards et ses avances. En vrai, ça ne le dérangeait pas vraiment, au contraire ça occuperait son après midi, et sa nuit si le marchant de sable l'oubliait encore. Il espérait juste que ses lacunes ne soit pas trop nombreuse, pour avoir un peu de temps à consacrer à ses amis. Bien qu'il n'en revenait toujours pas d'avoir réussi à se lier avec autant de personne en si peu de temps alors que son passé est un désert de relation.

D'ailleurs il voulait passer voir Adam, lui acheter un poisson de sa récolte pour son dîner et l'inviter au passage. Seulement, avec le boulot qui l'attendait, il remit ça à demain et préféra se diriger vers le Starbucks de son quartier pour se prendre un café. Marchant tranquillement dans la rue, tout en commençant à s'organiser mentalement pour être le plus productif possible, le brun fut surprit par une poids s’effondrant sur le sien. Il sourie,  une seule personne au monde ne lui à offert pareille étreinte. Seulement un quart de seconde, le temps de juger le poids et la carrure qui ne corresponde absolument pas. Sa rousse est bien plus fine, plus petite que cette personne.

Son corps se contracte immédiatement, déranger par l'idée d'avoir un inconnue sur lui et terrorisé par la situation. Sa seconde pensées, après sa douce, est d'être entrain de se faire agresser. Devrait-il reculer brusquement contre un mur avant de se faire étrangler ? Non, pas de violence, il pourrait s'agir d'un de ses amis ? Immobile, presque paralysé par la peur de ne savoir comment réagir, Gadriel essaie de se calmer alors qu'une légère pression le force à se retourner. Il découvre alors la jeune femme asiatique, confirmant encore plus son incompréhension total de ce qui se passe. « Je...Je... vais» Balbutie le brun pour essayer de répondre aux questions, cela dit le stress et la panique ne l'aide clairement pas à trouver ses mots.

Heureusement la jeune femme le sauve de sa détresse en découvrant sa confusion. Le brun se décontracte légèrement, rationalise autant qu'il le peu. Il a juste un sosie, et cette femme l'a prit pour lui. Bien que la sienne soit tremblante et probablement moite, d'ailleurs il l'essuie rapidement sur son pantalon avant de rendre la main tendu. Se sachant émotionnellement instable, et donc incapable de maîtriser sa force, il sert la main fine avec une douceur et une délicatesse dont il n'a pas conscience. « Gadriel, je suis fraîchement arrivé en ville. Ce n'est pas grave. » A sa tête et son état, on pourrais croire le contraire, il lui faut simplement le temps de se calmer. « C'est une simple confusion, ne vous inquiétez pas. » Il insistait autant pour la jeune femme que pour lui même.

La proposition de café l'avait fait sourire immédiatement, à croire qu'ici les gens aimaient régler les malentendus avec ce doux breuvage, une solution qui lui convenait formidablement bien. « J'allais justement au Starbucks, mais vous n'avez pas à vous faire pardonner vous savez. Il parait que nous avons tous un sosie. » D'ailleurs il espéra profondément que son frère ne lui ressemble que de visage, que son corps et son esprit soit préservé des maux qui le ronge lui.« Cela vous fera un sujet de conversion, vous pourrez lui dire qu'il à un sosie américain, originaire de … virginie selon l’orphelinat.» Il hésita sur ses derniers mots, certes tout ses souvenirs les plus lointains étaient là bas, mais était il né pour autant dans cet état ? Il en avait fait les quatre coins, et était bien incapable de savoir dans quel ville il avait été trouvé... Pas un détail qu'on retient quand on apprend avoir été déposé devant une église à peine enveloppé dans une couverture...

Il indiqua d'un geste de la main le chemin vers le café, et commença à marcher dans cette direction, son palpitant déjà bien plus calme, même si quelques angoissent persistait toujours. « Vous habitez ici je présume, et votre frère doit vous rendre visite ? » Demanda t'il bien que marchant un peu sur des œufs, c'est ce qu'il avait compris de leur échange, mais Gadriel et la lecture interligne, c'est comme l'eau et l'huile. Il y à en revanche une chose qui le rendait curieux. Sue avais clairement des origines asiatique, son frère devait en avoir aussi, alors comment il lui, caucasien pur souche, pouvait lui ressembler autant ? Des millions de scenario défilent dans son esprit, remontant son stress en pic. "Vous êtes proche tous les deux ? " Demanda t'il autant pour faire la conversation que par curiosité. Faut dire que le seul lien de fratrie qu'il ai et des plus ambiguë, Lena étant sa copine et sa soeur d'adoption aussi. Puis sa réponse lui permettrait peut être de se faire une meilleure image de la situation.
@Sue-Jean Burke
Sue-Jean Burke
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Âge : 36 ans , le temps file même si elle considère que c’est une preuve qu’elle ne s’est jamais ennuyée.
Statut civil : Célibataire, elle à quelques aventures ci et là, jamais rien de trop sérieux. Elle n’est pas du genre a courir après l’amour, elle se fait passer en premier.
Métier : Luthière et ébéniste d’art. Elle travaille pour elle même et c’est un métier qui la passionne toujours comme au premier jour.
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Ce n’est pas grave

Il avait dit mais son comportement laissait croire le contraire et elle avait pris quelques secondes pour le scanner , l’ausculter silencieusement , visuellement. «Vous êtes sur ? Je ne vous ai pas fait mal au moins ? Je suis un peu du genre bulldozer.» elle se justifie.  Elle ne savait pas si c’était parce qu’elle avait un travail physique, qu’elle soulevait beaucoup de choses lourdes, si c’était sa stature , un talent inné mais il était certain qu’elle ne manquait pas de force et elle était désormais inquiète de lui avoir cause du tors d’une quelconque façon.

Il avait accepté qu’elle lui offre un café et lui avait proposé d’aller avec lui qui se trouvait justement en route pour le starbuck du coin. Instinctivement elle avait plissé le nez et fait une moue qui devait sans doute la faire paraître plus jeune qu’elle ne l’était. Parce que qu’elle femme de trente-six ans faisait encore des caprices d’enfants? Qu’importe. «j’avais en tête quelque chose de moins corporate ou industriel mais c’est vous le maître.» elle avait plaisanté avec entrain alors qu’elle lui emboîtait le pas.

honnêtement ce qu’il avait dit en suite avait piqué sa curiosité et créé en elle une étrange angoisse doublée d’apréhension.  Il avait été placé dans un orphelinat en viginie. Il était comme elle et comme Arden, un enfant des services sociaux. Ce n’était pas le pire.  A la taille des USA. La virginie et new-york étaient relativement proche et elle ne se souvenait pas d’où Arden avait été trouvé. Elle savait seulement qu’il avait été placé à l’adoption dans une agence new-yorkaise mais rien n’indiquait sa provenance réelle.une part d’elle s’accrochait a un scénario digne d’un film du dimanche, l’autre - celle qui était irrémédiablement pragmatique et terre à terre  - lui disait que c’était une simple coïncidence , que quelque chose de pareil ne pouvait pas se produire.  

Pourtant elle ne pu s’empêcher de commenter a voix haute. «Mon frère est aussi américain que vous, il a été adopté à new-york.» elle aurai bien dit aussi américain qu’elle mais ça lui avait paru déplacé de faire des blagues sur sa propre adoption. Elle pouvait comprendre son trouble, elle ne ressemblait pas a quelqu’un qui avait un frère caucasien.  Mais elle en avait un et il n’avait pas plus de liens avec ses parents biologiques qu’elle n’en avait.

Ses yeux parcourraient la rue avec un peu de nostalgie, elle était venue pour se rapprocher en quelques sortes de ce qui ressemblait le plus a des racines américaines pour elle. Et c’était plutôt réussi quand elle y pensais . «Je vis ici, oui. Depuis six ans. Bienvenue , au fait, j’espère que vous vous plairez ici. C’est retiré , mais c’est sympas, c’est calme. Quand à mon frère …» elle pris une pause alors qu’elle lui ouvrait poliment la porte du starbuck dans un acte de galanterie , relativement amusante et elle en profita pour se souvenir de sa dernière conversation avec Arden ou avec ses parents pour savoir s’il avait été question de le recevoir chez elle prochainement. «je ne l’attend pas encore avant plusieurs semaines, d’où ma surprise.»

Sue avait jeté un coup d’œil a la queue et au menu qui était suspendu au dessus du bar ou les Barista s’affairaient. Comment une franchise aussi industrielle avait pu avoir autant de succès dans ce petit patelin pommé sur une île ? Elle grommela quelque chose sur le capitalisme et la mondialisation, rien de très clair et qui n’était pas destiné a son interlocuteur. Mais quand même ça la laissait relativement pantoise.

s’ils étaient proches ? Elle eu un petit sourire en coin et s’était humecté les lèvres par réflexe. «Arden et moi ? Plutôt , oui. Généralement il passe les vacances avec moi depuis qu’il à douze ans. Nous avons 14 ans d’écart alors on peux dire que je l’ai quasiment élevé, bon et bien pas autant , nos parents ont tout le mérite mais je l’ai pas mal pouponné , à son grand damn. …vous prendrez quoi ?»

Leur tour était arrivé plus rapidement qu’elle avait espéré et elle donna mentalement un point en faveur de starbuck. C’était loin d’équilibrer la balance mais c’était mieux que rien, elle supposait.  L’idée de leur donner un tant sois peu de crédit lui avait tordu l’estomac.  C’était définitivement une nouvelle preuve de l’ubérisation de la société, la prochaine étape ce serai d’accepter que les luthier comme elle allait être remplacer par les boutiques Amazon remplies de violon bas de gamme conçus a la chaîne en chine ou le ciel seul savait ou.

«vous avez …des frères et sœurs ?» la jeune femme avait demandé en se dirigeant vers une des dernières tables vides pour poser son gobelet brûlant dessus et avec cette même galanterie qu’elle offrait généralement aux femmes , elle lui avait tiré sa chaise d’un air franchement assuré. Elle aimait donner ce genre de spectacle. Sue avait toujours eu très conscience de son impact sur les autres et il aurait été mentir de prétendre qu’elle n’aimait pas en jouer.  

Enfin , elle sorti son téléphone de sa poche pour se connecter à Instagram avant de tendre ce dernier a Gadriel, le laissant admirer les dernières photos de son petit frère , prises quelque part dans les îles grègues, elle supposait, il avait dit qu’il y avait passé deux semaines sur l’île de Rhodes au large de la Turquie avec des amis a lui.

Ainsi , cote a cote , les deux semblaient être les deux faces d’une même pièce. Tellement semblables de par leurs traits mais il se dégageait visiblement une énergie très différente de l’un à l’autre. Arden Burke avait grandi comme une fleur dans une serre, dans un monde qui avait été construit autour de lui, a sa seule gloire et il avait toujours été choyé de toutes parts. Comme Sue-jean , il avait pris connaissance tardivement du fait qu’il appartenait a une classe sociale élevée,il avait toujours fréquenté des gens qui avaient le même genre d’histoire que lui, le même genre de famille.

 «On est américains , mais on a toujours vécu en Espagne. Il dois toujours y être.  Tu vois,» elle avait commencé en buvant un peu de son propre café (définitivement trop cher pour ce que c’était) et en détaillant le visage de Gadriel, elle avait laissé tomber la politesse exacerbée et elle espérait qu’il en ferai de même. «tu peux dire aussi que tu as un sosie qui se dore la pilule sur une plage a Barcelone.» c’était certain qu’il le faisait. Elle poussa un soupire pour se détendre de toutes ces émotions , son cerveau cherchait toujours a faire des connections entre Gabriel et Arden , tout en refusant qu’elles ne se concrétisent. Pas tant qu’elle ne serai pas certaine. «tu as quel âge ? Qu’est-ce qui amène une si jeune personne sur cette île ? Tu arrive a t’intégrer ?» autant être fixés.
Gadriel Eldrik-Snows
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La situation inhabituel avait chamboulé le brun qui se remettait doucement, il lui faudrait du temps pour se calmer et se rassurer complètement, cependant il arrivait à rationalisé, ce qui était déjà un énorme pas en avant pour lui. Puis il ne pouvait pas vraiment lui en vouloir, lui même, à peine une seconde mais quand même, avait pensé qu'il s'agissait de Lena. « Non, non, tout vas bien. J'ai juste été bien surpris. » Aucun doute qu'il n'avait aucune douleurs, physique du moins, bien qu'il ne subissait plus de violence depuis un moment, son rapport avec n'avait pas évolué, il encaissait toujours autant, ce n'était pas une simple bousculade qui allait le perturber.

Quoi qu'il en soit la femme proposa de lui payer un café, il expliqua alors qu'il s'y rendait justement. Ses sourcils se froncèrent devant la mine renfrogné de la demoiselle, cela dit ses explications lui permirent de comprendre rapidement. « Je vois ce que vous voulez dire. C'est juste que c'est à coté de chez moi, et que c'est le seul endroit ou il ne massacre pas encore complètement les graine. Mais si vous connaissez une bonne adresse, je suis totalement preneur ! » Oh oui, dès son arrivé, il avait fait plusieurs café de l’île, mais jamais son palais n'avait été totalement conquis. Les machines étaient performante, mais les grains bas de gamme, ou vise versa, juste pour gagner sur les marges.

Gadriel essaya de rire de la situation, lui donnant ses origines pour que son frère soit au courant qu'il avait un sosie à l'autre bout de la Terre sûrement. Il remarqua à nouveau un changement sur le visage de l'asiatique. Il ne su l'expliquer et chercha un moment se qu'il avait pus dire pour en arriver là sans jamais y parvenir.  Son esprit ne fit même pas le rapprochement quand elle avoua que son petit frère avait lui aussi été adopté, il resta juste silencieux, choqué par se hasard.  «C'est...c'est assez étrange.  » Déjà un sosie, c'était pas commun, mais qu'en plus il partage se drame de l'abandon, honnêtement c'était presque... suspect ? Et à nouveau l'idée que la demoiselle se moque de lui, lui traversa l'esprit.

Le brun aurait pus s'enfouir, échapper à cette situation bien trop bancal, pourtant il trouva la force de rester. Un peu sur la défense mentalement pour ce protéger, mais il relança la conversation. sur le chemin, essayant de rassembler toutes les pièces de ce puzzle un brun compliqué pour lui.  Entrant dans le café, en la remerciant pour la porte tenue,  il prit place dans la file. « Merci. Pour le moment, je m'y sens bien.» Expliqua t'il sincèrement. Faut dire que pour le moment, il trouvait ici tout ce qui lui avait manqué jusque ici, omis son père et sa douce bien sûr. « Effectivement, il aurait eu un peu d'avance.» Cela voulait il dire que dans quelques semaines, d'autre le prendront pour lui et vice versa ? Rien que l'idée lui serait l'estomac.

Le temps de faire la queue, Gadriel en appris un peu plus sur la relation entre les deux. Il se sentie soulager de comprendre que les deux n'avaient pas connue l'enfer des orphelinats et famille d'accueils comme lui. Ou au moins il avait eu l'avantage de grandir un peu ensemble, l'un avec l'autre. Leur tour étant arrivée, il demande son double expresso, serré et noir comme toujours. De retour dans la conversation après avoir récupéré sa boisson, le brun se mit à détourner le regard, mal à l'aise, sachant que la réponse allait sûrement choquer la demoiselle. « C'est...C'est compliqué. Lena et moi avons été adopté par Nathanael il y à cinq ans, mais nous étions déjà en couple. » Expliqua le jeune homme en s’asseyant sur un troisième siège sans comprendre ce que faisait Sue-Jean à mettre son café à en endroit pour ensuite tirer une chaise à l'autre bout.  La galanterie, une vertu que Gadriel avait inconsciemment, mais qu'il ne savait recevoir. Maudite absence de confiance en soit !

Il attrapa prudemment le téléphone, se demandant bien se que la demoiselle voulait qu'il fasse avec. Cependant, il eu un moment de bug en voyant l'image affiché. Lui, mais dans un décors qui lui était complètement inconnue. Il lui fallu un moment avant de s’arrêter sur autre chose que se visage au trait plus que similaire,  ce n'est quand s'attardant sur les bras dénudé dépourvu de cicatrice qu'il comprit enfin et rendu l'appareil à sa propriétaire. « Je comprend beaucoup mieux le malentendu !» Le brun pris une gorgée de café en espérant se remettre de son état de choc. « Ça doit être déstabilisant, de partir vivre dans un autre pays.» Rien que partir vivre chez son père avait été un événement stressant pour lui, alors changer de pays, vivre la barrière de la langue, il en avait la nausée rien que d'y penser.  « J'ai vingt deux ans. Je suis arrivé ici par conseil d'un ami. Avec la disparition de Lena, c'est trop dur de rester à Richmond.» Tout là bas le ramène constamment à elle.  « Ici c'est plus neutre, je peux avancer plus facilement.» Bien que beaucoup de souvenir afflue selon les situations, il n'est pas confronter à la chambre vide, ses affaires...  « Les gens sont vraiment sympas ici, plus ...» Il cherche un instant ses mots, un moyen de qualifier se qu'il ressent ici avec la population.  « ouvert ?» L’interrogation dans sa voix vient de sont doute d'avoir choisie le bon mot pour expliquer qu'il se sent plus libre ici, moins juger, moins exposé aux regards des autres, bien qu'il se demande si ce n'est pas tout bonnement psychologique aussi. Ici personne ne sais le monstre qu'il à été.  « Et vous, qu'est ce qui vous à amené ici ? La météo doit quand même être beaucoup plus clémente en Espagne.»
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