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Bal de charité et retrouvailles. (Teresa et Charlie)
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Charlie O'Neil
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Charlie O'Neil
Pseudo : Rip, Il
Faceclaim : Tom Hiddleston
Multicomptes : Adam Smith la Bête
Présence : Présent.e
Bal de charité et retrouvailles. (Teresa et Charlie) Eaa0fc41b1cbb5a44636329252deea8824a856d2

Âge : 38 ans
Statut civil : Célibataire
Métier : Violoniste, un prodige et un virtuose
Habitation : Un loft en aire ouverte et épurée pour éviter les embuche. Town-Hill pour le situer
Triggers : Intimidation et funéraille.
Warnings : aucun
Recherches : Des amateurs de l'art, des envieux ou simplement des tortionnaires, de la famille, un coup de cœur tout simplement.
Messages : 20
Voilà quelques temps déjà que le virtuose n’avait guère mis les pieds hors de son antre. La muse lui avait rendu visite peu après l’appel de sa chère amie qui couvrait les opérations militaires dans un conflit à l’autre bout du monde. L’inquiétude et surtout la tristesse étreignaient avec une force colossale le palpitant de l’artiste, car l’aveugle s’ennuyait dès de la demoiselle partait dans un reportage risquer et surtout il percevait les informations du front. Donc il composait des mélodies pour chasser sa frayeur de ne plus sentir son parfum enivrant, de ne plus pouvoir laisser courir librement ses doigts délicats sur le plus exquis des visages de la création. Heureusement que ce soir il y avait un bal de charité pour amasser des fonds pour la bibliothèque mémorial Jesup qui était plus que centenaire. Un parfum du passé hypnotisait l’homme charismatique à chacune de ses visites pour y apporter son support. L’édifice devait subir des rénovations toutefois et voilà la raison de ce bal. Plusieurs personnalités des environs y seront présent et le responsable de l’événement lui avait demander de jouer quelques partitions et même, si le cœur de l’amant de l’archet le désirait, offrir une soirée en sa compagnie pour un encan silencieux. Ce que le premier violon de l’orchestre symphonique de New York avait accepter avec une joie des plus enthousiasmes. Enfin sa sœur Gemma sera heureuse que son frère sorte un peu de sa retraite lunatique pour rencontrer des gens et non sortir seulement pour le travail ou bien composer au son des vagues se brisant sur le rivage. Et coup du destin l’été de Vilvaldi avait résonner dans la poche de sa chemise. La voix clair et mélodieuse de Teresa se leva tel un chœur d’anges pour l’oreille si juste de l’aveugle et le bellâtre ne put ressentir la tendresse et l’affection gagner ses sens. Ils avaient passé certes une nuit d’extase ensemble, le souvenir de la soie de la peau sous ses doigts à la dextérité légendaire hantait encore les songes de l’homme et la douceur des lèvres sensuelles de la belle avait un goût de paradis tout simplement. Une belle amitié avait issue de la passion et de la fourgue. Des discussions croustillantes et sincères accompagner d’une force de caractère et surtout d’une intelligence qu’on voyait rarement. Voilà ce qui plaisait au charismatique homme quand il songea à la blonde. Comme à cet instant ou tout naturellement le virtuose invita la femme mariée à l’accompagner à cette soirée. Car au ton de Teresa, l’empathie de l’aveugle lui dictait qu’elle avait besoin de distraction. Avec un enthousiasme non dissimuler la belle femme avait accepter sur le champs.

Pour cette soirée l’artiste décida simplement de faire honneur à sa cavalière du moment en agençant ses habits à la couleur de leurs yeux. Les deux êtres avaient des iris d’un bleu profond, c’est ce que lui avait assurer Teresa. Donc un habit trois-pièces de bon goût avec une chemise blanche  ainsi qu’un nœud papillon qui faisait un bel effet. Comme à chacun de ces événements, il demanda à sa sœur par facetime de donner son accord. Quand il l’eut il finalisa sa préparation et saisit les derniers éléments essentiels pour la soirée. À savoir son violon, ce cadeau de son héros qui accompagnait le virtuose partout, sa canne blanche escamotable et les lunettes de soleil pour dissiper les malaises. Car la majorité des gens n’étaient guère friand d’observer un regard qu’ils savaient simplement déficient. La voiture avec chauffeur vint le chercher et comme de raison rendu à destination il sortit pour accueilli comme il se doit sa cavalière. Respirant à fond pour mémoriser son parfum, le violoniste la serra dans ses bras en la saluant.

Charlie- Bonsoir ma belle amie. Tu es comme toujours en beauté et je sens que le regards des convives ne cesseront de glisser vers toi. Ton parfum me fait rêver aussi. Il est rattacher à tellement merveilleux souvenirs.

Un grand sourire lumineux s’était inscrit sur les lippes charnues de l’aveugle.

Charlie- Après toi Teresa et merci de m’accompagner. Tu es un amour.

@teresa stevens

Tenue:
Teresa Stevens
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Teresa Stevens
Pseudo : Kara
Faceclaim : Yvonne Strahovski
Présence : Présent.e
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Âge : 44 ans
Statut civil : Mariée sur le papier
Métier : Scientifique à la NASA
Habitation : Otter Creek
Warnings : #faussecouche #grossesse
Rp : Rp's en cours(6/5)COMPLET:

Helena#1 - Alyha#1 - Cecilio#1 - Charlie#1 - Milo#1 - Francesco#1

Rps's terminé:

Messages : 52

Charlie & Teresa
Bal de charité et retrouvaille



Il y a des évènements que Teresa ne pouvait ratée. Depuis son plus jeune age, elle avait été conviée à une multitude de bal de charité, une ambiance et une population qui n’avait plus aucun secret pour elle. Il était donc naturel que quand on lui proposait une sortie telle que celle-ci, elle ne refusait pas, hormis si son travail l’en empêchait.  

Lorsque son ami Charlie lui offrit la possibilité d’arpenté un gala habillé de sa plus belle robe, elle n’hésita pas une seule seconde avant d’accepter. En ce moment, son travail lui laissant un peu plus de temps pour elle que d’ordinaire, puis elle avait toute son organisation à mettre en place pour préparer l’arriver du bébé, qui pointerait le bout de son nez surement bien plus tôt qu’elle ne le pensait. Son ventre de quatre mois commençait sérieusement à se voir et il serait difficile a dissimuler, par chance elle ne pensait pas croiser de tête de connu et Charlie, ne devrait pas s’en apercevoir, du moins c’est ce qu’elle espérait. Dénué de la vue, les autres sens de l’homme étaient bien plus développés qu’une personne dites « lambda », et dieu seul savait ce qu’une femme enceinte dégageait.

Une excuse de plus pour fuir le domicile, « Pourquoi restait elle avec son mari ? » cette question lui était revenue un nombre incalculable de fois ces derniers temps et à vrai dire, elle était clairement en train d’y songer. Devant son miroir, elle essayait plusieurs robes, toute trop petite, elle grossissait à vue d’œil, ce qui n’aurait pas été gênant si tout ses proches avaient été au courant de sa grossesse. Il ne lui restait que quelque semaine pour l’avouer à tout le monde avant de ne plus pouvoir le cacher.

Teresa était donc sortie l’après-midi faire les boutiques, afin de dénicher une robe un peu plus large et d’acheter un châle retombant avec classe le long de son corps.

Une fois apprêté de sa robe noir et blanc et maquillé, Teresa c’était rendu au lieu indiqué, attendant patiemment son cavalier. Elle pianotait sur son téléphone portable, réglant quelques affaires de boulot, -car elle était incapable de décrocher totalement –, puis elle entendit une voiture s’approcher.

En levant la tête, elle remarqua que dans le véhicule en question se trouvait Charlie. Fidèle à lui-même, avec cette allure fière et distingué qui l’avait attiré l’a première fois qu’elle l’avait croisé. A ses côtés, elle en oubliait complètement la cécité de celui-ci., au point qu’elle avait partagé ses draps avec lui.

Une seule fois, pourtant elle s’en rappelait comme si c’était hier. Il faisait partie de ses rares amants avec qui elle n’avait pas coupé les ponts, une relation plus neutre avait vu le jour et dès que l’occasion se présentait elle l’accompagnait pour l’entendre jouer de son violon. Il faut dire qu’il était douée et impressionnant la future maman sur bien des points.
Une fois en face de lui, elle le laissa se serrer contre lui, faisant en sorte de rentrer un peu son ventre pour éviter qu’il ne s’en rende compte.

« Je suis contente de te retrouver également Charlie » répondit elle plus pudiquement, bien qu’elle n’en pensât pas moins que lui. C’est naturellement qu’elle passa son bras en dessous du sien pour l’accompagner vers l’entrée du bâtiment.

« C’est normal, je n’allais pas te laisser y aller tout seul, même si je sais à quel point tu es doué pour te débrouiller sans moi ou qui que se soit d’autre. Ça me fait plaisir de te voir, puis surtout, tu sais l’effet que ça me fait à chaque fois que je t’entends jouer du violon. » Teresa adorait cet instrument plus que tout et pourrait l’entendre jouer des heures sans se lasser.

« Tu veux boire quelques choses ? Je vais te chercher ce qu’il te faut. Tu sais à quelle heure tu dois jouer ? »



@charlie o'neil

AVENGEDINCHAINS
Charlie O'Neil
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Charlie O'Neil
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L’artiste de renom ne pouvait que sourire en grand devant la beauté éblouissante de la jeune femme. Voir était un concept que Charlie ne pouvait aucunement apprécier, mais ses autres sens raffinés dès la naissance lui indiquèrent sans l’ombre d’un doute que Teresa est littéralement une beauté sans nom. Dans le premier souffle par le toucher. La peau soyeuse, les courbes aussi sensuelles que dangereuses, la douceur de la chevelure avait été arpenter avec dévotion et surtout tendresse par le doigté presque surnaturelle du violoniste aveugle. Les mains inquisitrices avaient exploré des paysages exquis qui arpentaient encore les songes de l’homme si charismatique. L’ouïe s’était régaler des discussions qui partaient sur leurs passions et des sujets aussi variés que captivant. L’intelligence de la scientifique de la Nasa était la plus belle de ses qualités en ajoutant la douceur et la gentillesse qui semblaient être sans fin dans l’âme aussi merveilleuse que lumineuse de la femme mariée par un abruti. L’odeur de sa peau avait su enivrer le sens olfactif délicat du trentenaire plus que de raison. Qui sait si le destin aurait décider autrement, les amants d’une nuit aurait pu former un duo sur le chemin de l’existence. Mais l’aveugle n’était pas du genre à se perdre dans les pensées de ce type et préférait vivre l’instant présent de manière aussi positive que possible. Après les civilités d’usage, les lippes charnues de Charlie avaient décelé la douceur encore plus délicate et soyeuse des pommettes de sa blonde cavalière, le couple d’un soir pénétra avec dignité et surtout panache dans cette bibliothèque plus que centenaire.  Marchant avec la droiture et surtout la tête haute comme le lui avait appris son héros, fierté accrue d’être au bras de la scientifique dont l’amitié était un trésor précieux pour celui qui représentait dignement les violons dans le majestueux orchestre New Yorkais, le bellâtre affichait son plus beau sourire. Aux mots de sa compagne du moment, le charismatique artiste parla de sa voix aussi chaude et douceâtre que les notes enjouer de la composition de l’Été de Vivaldi.

Charlie- Je suis doué, mais passer un instant avec toi me fait toujours autant rêver que plaisir. Nos conversations me manquent cruellement Teresa. Et je me souviens du premier effet que le violon t’a fait vu notre rencontre. Je sais que tu es friande de ce genre d’évènement et pour la cause de ce temple du savoir, j’espérais que tu te sens bien et aussi libre qu’un poisson dans l’eau avec les membres de la Mesa du Maine qui ont confirmé leurs présences.

Il fit alors un sourire aussi grandiose que rayonnant avant de rajouter avec cette sincérité douceâtre.

Charlie- Moi aussi ça me fait plaisir de te voir. Et être près de toi me permet de me concentrer sur l’inspiration du moment et de composer l’œuvre que je vais t’offrir à ton anniversaire.

Lui tapotant le bras avec espièglerie le bellâtre hocha la tête avec douceur.

Charlie- Je vais boire un peu plus tard merci. Il y a quoi comme carte des vins selon toi? Pour ma prestation j’imagine quand ce sera l’œuvre il vont m’appeler, car en ta compagnie je ne vois pas le temps filer. Mais si tu veux un concert privé, nous pourrions aller un peu plus tard dans le petit jardin en arrière de la bibliothèque. Ce sera ma façon de te remercier de ta présence.

Il soupira doucement avant d’ajouté.

Charlie- Je me suis proposé d’être un des articles dans l’encan silencieuse de tout à l’heure. Un repas et une prestation privé. J’espère sincèrement que quelqu’un voudra de moi car je fais pale figure devant les adonis et les gens de prestiges qui y sont également.

Il pencha la tête en plongeant son regard masquer par des lunettes de soleil dans les iris de la belle en se fiant au son de cette voix si merveilleuse qui pourrait éclipser tellement de sons si doux pourtant.

Charlie- Et toi Teresa tu à réussi à faire valoir ton idée pour le véhicule lunaire dont tu m’as parler? Tes arguments me semblaient plus que béton. Aussi le programme lunaire sera reporter à ce que j’ai entendu?

Il rajouta doucement tout en saisissant la chaise dont son pied avait effleurer un instant auparavant. Il invita la demoiselle à s'assoir confortablement

Charlie- As-tu toujours avec cet homme qui ne voit pas la chance d’avoir une merveille comme toi? Si je serais à sa place je me considérais le plus chanceux de l'univers. Si tu as besoin de parler je suis là… à défaut d’apprécier ta beauté par la vue, je suis à ce qu’on dit une personne avec une grande écoute…

@teresa stevens
Teresa Stevens
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Teresa Stevens
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Charlie & Teresa
Bal de charité et retrouvaille



Leur relation avait toujours été ambiguë. Elle avait commencé sous les draps et s’était transformé en amitié à cause du mariage de Teresa. Ce mariage qui faisait obstacle a beaucoup de chose et qui lui servait surtout d’excuse face à la réalité. Tant de temps en union avec un homme qu’elle ne supportait plus, comment avait elle pu faire tout se temps ? Personne n’avait compris et personne ne comprenait. Mike et elle allaient chacun voir de leur coté et ne couchaient plus ensemble depuis des mois.

Charlie faisait partie des rares aventures d’un soir que Teresa avait conservé dans ses contacts. Bien qu’elle souhaitait gardé un lien platonique, l’attraction entre eux était encore bien présente.

Bras dessus, bras dessous les regards se posèrent sur eux. Ils avaient l’air d’un couple heureux, tous deux affichaient des sourires et se déplaçaient avec une élégance naturelle, élégance que beaucoup pourraient leur envier. Charlie avait bel allure et Teresa ne cessait de lui jeter des regards en coin, contente de partager sa soirée avec celui-ci.

« Je me sens toujours libre à tes cotés » répondit elle simplement, ne souhaitant pas rentrée dans son jeu de séduction, sachant que trop bien comment cela pourrait terminer. Ce n’était pas le moment de craquer.

La liberté, la même raison qui l’avait poussé à garder contact avec cet homme après cette nuit inoubliable qu’ils avaient passé. La douceur de ses gestes, un moment hors du temps qui avait fait découvrir à la blonde une autre facette des relations charnelles avec les hommes. Malgré son cerveau marqué par l’alcool, elle n’avait pas oublié un seul instant de cette soirée, ni aucune sensation. Chaque minute passé auprès de Charlie lui rappelait ce moment et d’après les paroles de celui-ci, la réciprocité semblait présente.

« Une œuvre pour mon anniversaire ? Je t’inspire à ce point là ? » répondit elle avec une pointe de surprise dans la voix. Le genre de cadeau qui la touchait profondément et qu’elle n’avait jamais eu. Comme quoi il n’y avait pas besoin de dépenser beaucoup d’argent pour faire plaisir à quelqu’un finalement. « Rassure toi, tu as encore le temps, ce n’est quand Novembre ». Rappela-t-elle pourtant persuadé, au fond d’elle, qu’il savait exactement la date de son anniversaire. Elle se demanda soudainement s’il faisait ça à toutes les femmes qu’il rencontrait ou si elle était la seule ? Surement un peu prétentieux de penser ainsi ?

Teresa s’approcha d’un mange debout pour attraper une carte avec les vins proposé pour la soirée. « Il y a plusieurs vins rouge exposés, dont quelques sélections de vins californiens, mais également des spécialités françaises. Des bordeaux, dont le -entre deux mer- » prononça-t-elle avec un accent Français presque parfait. L’avantage d’avoir fait ses études à l’étranger et de parler de nombreuses langues différentes. « A part si monsieur est plus vin blanc » continua-t-elle en langue française.

« Le temps passe toujours très vite en ta compagnie et oui c’est avec plaisir que j’accepterai un concert privé après ta prestation. » Ce n’était pas la première fois qu’elle assistait à une de ses -représentation privés uniquement pour elle- des moments hors du temps qui lui faisait oublier tous ses problèmes.

« Ils sont obligés de vouloir de toi. Tu es parfait, très élégant et très talentueux, qui pourrait refuser ta présence ? Tu ne vaux pas moins qu’eux, bien au contraire. » lui répondit elle, certaine.

Son regard la voyait malgré la cécité, c’était inexplicable mais Teresa savait que cet homme observait bien plus et bien plus loin que les voyants qu’elle fréquentait tous les jours. « Je ne suis normalement pas autorisé à te divulguer ce genre d’information » le taquina-t-elle avant d’enchainer.

« C’est un peu plus compliqué que ça, mais oui le projet a été validé. Maintenant, il reste à décider sur quel axe la recherche va etre ciblé. Le but est de ramener un échantillonnage de la matière lunaire pour approfondir les recherches, mais nous cherchons un endroit différent de ce qui a déjà été rapporté par Chang’e-5. Nous mettons en place la mission Artemis III pour se rendre au pôle sud de la lune, mais tout ne se passe pas comme prévu d’un point de vu organisationnelle. » Teresa travaillait sur plusieurs facette de ce projet depuis maintenant des années. Une passion qu’elle aimait partagé quand l’occasion se présentait, même si elle n’avait pas le droit de rentrer dans les détails.

Teresa accepta la chaise proposée par son partenaire et s’installa, faisant en sortes que celui-ci ait une chaise également pas trop loin de lui.

« Oui, je suis encore avec Mike et je ne doute pas de ton sens de l’écoute. Je ne suis pas si facile à vivre tu sais. » Ajouta-t-elle le sourire aux lèvres.

« Comment cela se fait-il, qu’un homme comme toi ne soit pas accompagné dans la vie de tous les jours par une femme ? A part si je me trompe et que je n’ai pas eu toutes les informations ? Il faut etre complétement dénué de gout pour ne pas tomber sous le charme d’une personne tel que toi. » fini-t-elle en le dévisageant sans retenue et se demandant finalement si rester marié avec l’homme qui lui servait actuellement d’époux était réellement une bonne idée.



@charlie o'neil

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Tout en pivotant la tête avec une élégance et un charisme alors que la magnifique voix de la scientifique vint caresser l’ouïe absolue. Un sourire aussi éclatant que sincère se déposa sur les lippes charnues du musicien alors qu’il hocha la tête en approbation des mots de la belle femme. Le ton de l’aveugle était velouté, d’une douceur qui semblait prendre naissance dans le palpitant de l’homme qui n’avait pu avoir la joie de contempler un lever de soleil.

Charlie- C’est cette liberté et cette amitié qui fait de nous de si merveilleux amis. Aussi ce respect et cette honnêteté qu’on a l’un envers l’autre.

Cette nuit passé avec Teresa fut littéralement mémorable et des plus exaltantes. Le contact de leurs peaux enflammés par la passion, leurs lèvres qui cherchaient sans cesse la bouche de l’autre comme si c’était l’air la plus pur gourmande. Quand le plus magnifique des actes de l’humanité fut terminer, les amants d’un soir s’étaient endormis paisiblement et surtout en harmonie dans les bras de l’autre. Un lien s’était tissé, aussi solide que puissant que l’attraction terrestre, entre les deux âmes. Tapotant la main gracile passé à son bras avec sa paume avec douceur, le violoniste reporta son regard d’un bleu si pur derrière la pénombre de ses lunettes et de sa cécité de naissance dans le sens de leur démarche élégante.

Charlie- Tu m’inspire à chacune de nos rencontres, de nos conversations. Grâce à toi, je peux m’imaginer la voie lactée et la lune quand tu me parle de ta passion. Comme le disait mon grand-père, quand tu es inspirer par quelqu’un et que tu peux lui rendre hommage, fais-le pour simplement le remercier d’être dans ta vie.

Le premier violoniste de l’orchestre New Yorkais eut un petit rire aussi cristallin que communicatif.

Charlie- Je devrais avoir terminer de justesse. En fait en dehors de mon amie d’enfance et les membres de ma famille, je n’ai jamais composer un concerto en trois mouvements pour personne.

Naturellement lors de ce genre de soirée il y avait des bons crues et de l’alcool de qualité pour que les donateurs sont encore plus enclins à ouvrir leurs bourses. Donc le duo put trouver un choix alléchants de vins. Et pour l’ouïe de l’homme qui avait connu l’existence sans jouir de la vue, la voix de la scientifique était synonyme d’une douce envolée lyrique qui charmait sans cesse l’artiste. Teresa avait le don de faire voyager Charlie seulement avec les accents, de percevoir l’espace d’un instant les arômes et les paysages décrits de ces pays dont résonnait la passion et l’amour des voyageurs. Avec douceur, comme il avait prit l’habitude de le faire en remerciement de l’aide de la femme qui occupait une place si particulière dans son palpitant si doux et passionné à la fois, prit la main gracile comme pour l’inviter à une valse et les lippes charnues de l’aveugle fit un flottement aussi apaisant que tendre sur la peau satiné de la blonde qui hantait encore les sens du violoniste. Il se releva alors pour se laisser guider de nouveau alors que les gens présent pouvaient croire sans peine à un couple amoureux et heureux alors que la vérité était autre.

Charlie- Toute l’arôme de ces crues ne saura guère égaler ce parfum que tu porte et qui me permet d’apercevoir un bref moment en songe ta beauté et son sourire que je sais grandiose. Tu sais que je vais boire les yeux fermer ce que tu vas prendre, car je te fais une confiance aveugle. Et cet accent me fait penser à ce concert à Paris... Et naturellement je crois que je vais jouer la partition que tu as apprécier lors de notre première rencontre... C’est un peu cette composition qui a su nous faire rapprocher et je pourrais ajouter que c’est un peu le thème de notre lien.

Trouvant une petite table bistro avec deux chaises, l’homme fit preuve d’élégance en offrant une chaise à sa compagne de la soirée avant de s’asseoir à son tour. Le charismatique virtuose pivota la tête vers la jeune femme avec ce sourire éblouissant de sincérité et surtout doux comme tout. Un rire franc et douceâtre franchit alors les lippes de l’homme amoindri par une tare à la naissance, mais dont il avait appris à vivre malgré tout.

Charlie- Tes mots vont me chercher au cœur Teresa. Et je ne peux que te retourner le compliment. Tu es d’une entregent frôlant la perfection et ton intelligence est surnaturel. La passion t’habite et tout ce que tu dégage ne peut qur forcer l’admiration de tous et chacun.

Espiègle et joueur, le violoniste descendit ses lunettes soleil pour laisser la pureté de ce regard d’azur se porter sur la jeune femme sans réellement la voir. Un clin d’oeil complice fut alors fait par le violoniste qui ne se départit aucunement de ce sourire aussi lumineux que charmeur.

Charlie- Ne me dis pas que tu es maintenant des services secrets et que tu devras me faire disparaître si tu me mets dans la confidence. J’avoue que disparaître avec toi pour visiter un lieu enchanteur et me laisser guider par la muse que tu es sauras me plaire.

Public aussi charmé qu’attentif, l’aveugle écouta la passion qui englobaient les mots de la scientifique. Hochant la tête de manière presque imperceptible pour encourager la blonde merveille de s’exprimer sans retenue, l’homme se laissa littéralement porter par le flot d’informations vers l’astre lunaire. Il songea alors qu’il aurait tout donné pour n’apercevoir qu’un instant la beauté de sa compagne, savourer ce sourire qu’il percevait dans sa voix et être charmer à chaque mouvement de son corps si gracile et magnifique dont ses doigts avaient parcouru avec une passion incandescente. Quand elle fini l’aveugle ne put qu’ajouter avec douceur.

Charlie- La NASA devrait te nommer chef d’équipe vu la passion et la chaleur que tu démontre avec ta passion. Un de ces jours nous devrions allez à Cap Canaveral pour y visiter le musée et je pourrais voir les reliefs de la lune. J’aurai la plus magnifique et passionnante des guide.

Le sujet épineux de leurs situations amoureuses arriva et compatissant il prit la main gracile de la scientifique de renom dans la sienne dans un geste apaisant et tendre.

Charlie- Tu as ton caractère et c’est autant tes qualités que tes défauts qui font de toi la plus scintillante des âmes. Avoir une femme de caractère est une aubaine selon mon grand-père et il disait aussi que la vie est parsemer d’épreuves qu’un couple doit relever ensemble.

Il hocha la tête en déposant son instrument fétiche à ses pieds.

Charlie- Tu devrais voir mes états de colère quand on me tire abruptement des bras de la muse alors que je compose. Je tombe dans un état de créativité qui me fait couper du monde extérieur. Mais je peux te dire que Mike est un idiot tout simplement car à sa place je voudrais te conquérir à chaque jour et juste être embrasser par la femme que j’aime sera la plus douce des récompense.

Soupirant doucement à l’interrogation de la blonde, le charismatique homme passa sa main sur son menton anguleux et viril à la fois.

Charlie- Car comme la muse qui m’inspire elle doit habiter dans mon palpitant et dans mon âme.Il n’y a que deux demoiselles qui peuvent se vanter d’avoir cette place. Mais elle parcourt le monde pour faire éclater la vérité au péril de sa vie. Je m’inquiète à chaque moment pour elle tu ne sais pas. Elle carbure à l’adrénaline et disons que violoniste n’est guère captivant pour elle. Aussi je n’ose pas lui faire part de mes sentiments de peur de la perdre comme amie...

Il haussa les épaules et le ton de la voix de l’artiste se fit honnête et d’une douce mélancolie. Sûrement que Teresa comprenait que l’autre femme devait être elle et que dans une autre existence, là ou elle aurait pu être libre d’union, le musicien aurait pu pousser l’audace à lui demander de partager sa vision de la vie. D’être sa plus belle musique tout simplement. Mais jamais Charlie n’allait briser un ménage et maintenant l’amitié qui avait naquit lui était précieuse.

Charlie- Je ne suis pas trop commode tu sais. Fier et je veux tout faire sans tenir compte de mon handicap. Je crois que je ferais tourner n’importe qui en bourrique.

Il rigola doucement.

Charlie- Tu sais quoi? Tu as une idée de ce que je devrais jouer tout à l’heure? Car je vais te dédier ce moment devant tous. Au nom de cette liberté qui nous est précieuse... Mais je me demande, ce que tu aimerais pour être heureuse dans la vie? À part ta passion pour l’espace et l’exploration de l’univers.

Jamais leurs mains ne s’étaient quitter, comme si aucun ne voulait briser ce moment.

Charlie- Tu as rencontrer un homme qui t’a fait découvrir la femme d’exception que tu es? Pourquoi tu t’entête à rester avec un homme qui semble s’éloigner? Tu es une femme extraordinaire qui mérite qu’un homme soit prêt à lui décrocher la lune... Tu as voyager dernièrement? Raconte-moi ce qui s'est passé dans ta vie depuis noter dernière rencontre.

@teresa stevens
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