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Alyha & Teresa - Scène de ménage chez les Harry Stevens
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Teresa Stevens
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Teresa Stevens
Pseudo : Kara
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Âge : 44 ans
Statut civil : Mariée sur le papier
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Alyha & Teresa
Scène de ménage chez les Harry Stevens



La vie est faite de rencontre, bonne ou mauvaise. Teresa l’avait expérimenté de multiple fois dans sa vie professionnelle. Elle en avait rencontré du monde… Des visages qui avaient défilés sans cesse, des premiers de la classe à la conquête du monde, des riches sans scrupules, tout un tas de gens qui avait tout, mais voulait toujours plus. En ce qui concerne les rencontres dans sa vie personnelle, c’était autre chose. Teresa avait une meilleure amie, qu’elle voyait à l’occasion, puis elle fréquentait son frère et ses sœurs, son mari, ses collègues de yoga et enfin elle faisait des rencontres lors de ses soirées « bar ».

Hormis les différentes « conquêtes » que Teresa y avait trouvées, elle avait également fait la rencontre de Alyha. Cette femme plus jeune d’elle de presque moitié avec qui elle avait sympatisé. Toutes deux alcoolisés plus que de raison, les deux femmes avaient raconté leur vie mutuelle. Teresa, ses problèmes de riche et Alyha ses ennuis qui cachait une situation bien précaire. Prise d’une compassion alcoolique, Teresa lui avait alors proposé de venir travailler quelques heures chez elle par semaine pour faire le ménage, sa femme de ménage l’ayant abandonné plusieurs mois auparavant. Une décision qu’elle avait pourtant regretté le lendemain face à sa gueule de bois devant de miroir. Cependant Alyha c’était montré ponctuelle, respectueuse, consciencieuse, ce qui avait finalement fini par conquérir Teresa. Leur relation c’était ainsi crée durant les semaines qui suivirent.

Teresa n’était pas du genre bordélique, bien au contraire, tout était toujours aligné à la perfection, rare était les objets qui trainaient, à se demander ce qu’une aide-ménagère pourrait bien faire ici. La mission d’Alyha consistait à nettoyer la salle de bain et la cuisine une fois par semaine et le sol de toute la maison de 180 mètre carré, deux fois par semaine, répartie en 2h le lundi et 3h le vendredi selon les disponibilités de la jeune femme. Teresa n’était pas exigeante sur les horaires de passages tant qu’elle le savait à l’avance.

Ce jour-là, l’ambiance était tendue chez les Harry Stevens. Mike Harry, le mari de Teresa, ouvra violement la porte d’entrée de la maison, tombant nez à nez avec Alyha. La saluant à peine, il se dirigea vers sa voiture garé dans la cour et s’en alla sans demandé son reste. De son coté, Teresa, le balai en main, ramassait des carcasses de céramique dans sa cuisine. « Bonjour » lâcha-t-elle au loin en entendant la jeune femme entrée, d’un ton limite aimable. Ses hormones de grossesse rendaient difficile le contrôle de ses émotions, elle qui d’ordinaire réussissait à tout caché comme si de rien était.

Teresa était à peine âpreté, ce qui ne lui ressemble absolument pas. Son ventre de grossesse n’était pas caché, elle était tellement énervée, qu’elle avait complètement oublier d’enfiler un pull pour ne rien laisser paraitre. Son ventre de bientôt 4 mois commençait déjà à la trahir, elle ne pourrait plus dissimuler très longtemps. Pour le moment, seul son mari était au courant, à vrai dire il venait de l’apprendre, les hommes et l’observation, ça faisait deux. Face à cette révélation il l’a menaça de « ternir sa réputation de femme parfaite », qui selon ses propos « était tout le contraire ». La dispute avait terminé avec deux tas d’assiettes entières éclaté au milieu de la cuisine et un mari prenant la fuite.

« Alyha ? » avait-elle appelé de la cuisine. « Tu fera attention dans la cuisine. Je viens de ramasser le plus gros, mais il y a surement des morceaux de céramiques qui sont passé à la trappe, fait attention de ne pas te couper. Avant de jeter les poubelles, appelle-moi, je ne voudrais pas que tu te blesse. Il y a deux sandwichs et une salade de thon au frigo, si ça t’intéresse tu peux les prendre en partant. » Enchaina-t-elle, essayant de reprendre son souffle afin de se calmer du mieux possible. « Désolé pour tout ça. » fini t elle par dire en faisant un grand signe de bras et en sentant ses yeux s’humidifier. Était ce vraiment elle ? Teresa Harry Stevens, en train de perdre pied devant une « presque » inconnue dans sa propre maison ? Satané hormones !

@Alyha Jäger

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Alyha Jäger
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Alyha Jäger
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@Teresa Stevens @Alyha Jäger

J’ai toujours dit que les rencontres avaient le pouvoir de changer une vie. Peut-être que Teresa fait partit de ces personnes. Dans la vie du quotidien, rien se nous auraient rapproché. Une scientifique reconnue et la petite SDF du coin de la rue. Rien, si ce n’est ce qui rapproche les peuples depuis toujours : un verre. Une fois, deux fois, il faut croire qu’on a tendance à consulter le même psychologue. Difficile a trouvé son bureau est dissimulé au fond du troisième verre. Dans notre thérapie commune on a beaucoup échangé. Sur le papier, aucune de nous ne pouvais réellement conseiller l’autre. Porter une oreille attentive, apporter un regard extérieur et quelques conseils bienveillant. Mais là était peut-être simplement ce dont nous avions besoin. Mais si je dis qu’elle fait peut-être partit de ces gens qui changent une vie, c’est qu’elle a été la première a m’offrir une réelle chance de m’en sortir. Le chemin vers une porte de sortie, ou une porte d’entrée pour le coup. Un premier petit boulot, pas de quoi vivre, pas de quoi louer un appartement, mais assez pour retrouver un peu d’espoir. L’espoir de tenter ma chance une nouvelle fois, l’audace peut être d’espérer accéder a un univers qui ne correspond pas forcément a l’image de ma situation. C’est d’ailleurs avec l’idée de lui annoncer que je m’étais fait une place dans un restaurant en ville que je sifflotais en me rendant chez elle pour mes heures de ménage hebdomadaire.

J’étais loin de m’être préparée a la scène que je découvrais quand Mr Harry ouvre la porte devant moi, m’adressant un pauvre signe de main témoignant un certain « rien a foutre ». Je reste un instant stupéfaite dans l’entrée, sans pouvoir m’empêcher de chuchoter un « C’est toujours un plaisir Mr » plein de sarcasme dans ma barbe. Rapidement je fini par entendre la voix de la maîtresse de maison qui me salue au loin.
Instinctivement, je me dirige en direction de sa voix, instinct confirmé quand je l’entends m’appeler. Quand elle est présente je prends toujours un instant pour la saluer avant de commencer, savoir ce qu’elle souhaite que je fasse en particulier.

Je l’écoute attentivement, enfin j’essaie car le spectacle qui s’offre a moi est loin de me laisser indifférente. Je tente de rester de marbre, enfonçant mes ongles dans mes paumes pour canaliser mes émotions. Ses yeux brillants, le ton de sa voix qui tente de garder la face. Qui reste même généreuse avec moi, en me proposant a manger, en souhaitant éviter que je me blesse. Et pourtant, a cet instant elle semble souffrir bien d’avantage que ce qu’une petite coupure pourrait m’infliger. Fidèle a elle même, même dans les pires moments.

« Teresa... » Commençais-je avec bienveillance, marquant une courte pause pour chercher les bons mots. «Les morceaux de verres et la salade sont peut être la dernière de tes préoccupations la tout de suite tu crois pas ? » Je lui adresse un demi sourire, plein de sympathie. On s’est confié l’une a l’autre a plusieurs reprises, et je dois dire que je me suis attaché a cette femme qui m’inspire un grand respect. Je me refuse a l’idée de la laisser dans cet état et puis, il y a autre chose qui me chiffonne. Je remarque pour la première fois clairement ce qui m’a peut être traversé l’esprit une fraction de seconde la semaine dernière et je ne peux m’empêcher de m’émerveiller intérieurement face a cette nouvelle une fraction de seconde avant de retourner mon intérêt total a Teresa a cet instant présent. « Laisse moi te préparer quelque chose a boire, et prends un moment pour respirer. » Sans lui laisser le temps de refuser je lui tends une main amicale et commence a avancer vers la cuisine en question. « D’ailleurs ce sac j’en fais mon affaire, t’en a assez pour aujourd’hui. Une fois que tu te sentira un peu mieux tu pourras m’en dire plus pour l’instant… Respire. »


KoalaVolant
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Alyha & Teresa
Scène de ménage chez les Harry Stevens



Il y avait des métiers sous-estimé, telle que les aide-ménagères. Pourtant ces petites mains de l’ombre savaient se montrer d’une importance capitale dans certain foyer. Dans l’intimité des familles, ils en connaissaient bien plus que certain proche et se montrait accessible pour se confier.

Alyha faisait partie de ces personnes, montrant bienveillance et écoute. Une relation bien plus profonde c’était mise en place entre les deux femmes, si bien que la jeune femme représentait pour Teresa, tellement plus qu’une simple employée à son service.  Elles s’écoutaient mutuellement, partageaient des informations les concernant et s’aidaient quand cela était possible.

Pourtant Teresa était, jusqu’à maintenant, toujours resté pudique sur les « gros problèmes » de sa vie, ne partageant que les soucis futiles du moment.

Ce jour semblait différent, la future maman ne parvenait plus à se contenir, prise la main dans le sac, ses émotions étaient devenues incontrôlables. Alyha ne perdit pas une seconde pour lui faire remarquer.

« La vérité, c’est que les morceaux de verres et la salade sont les dernières choses qui permettent d’occuper mon cerveau avant que toute cette situation ne devienne réelle. » avait-elle répondu machinalement, comme si, finalement, elle se parlait à elle-même. Nerveusement, elle termina de ramasser les derniers débris qu’elle trouvait sur le sol. Teresa avait honte de se montrer dans cet état de vulnérabilité, elle n’était pas comme ça, d’ordinaire.

Alyha lui proposa d’arrêter de faire ce qu’elle faisait pour souffler, surement était-ce l’option la plus raisonnable à l’instant présent.

Teresa fini par obtempérer et pris place sur un tabouret présent dans la cuisine, puis respira un grand coup. « Je veux bien un thé, s’il te plait. » céda-t-elle, complètement dénuer de force pour se battre ou refuser un peu d’aide.

« Je ne sais pas ce que je ferais sans toi » prononça-t-elle dans un souffle. « Tu as déjà assez de soucis comme ça pour t’en faire pour moi et mes problèmes de riche. ». Dans un premier temps Teresa resta silencieuse, reprenant ses esprits laissant Alyha préparer la boisson.

Puis, au bout de quelques minutes, elle se releva, se dirigea vers le frigo afin de sortir une boite remplie de gâteaux individuels, un de ses nombreux péché mignon de grossesse, si ça continuait ainsi, elle prendrait 60 kilos d’ici son accouchement. « Alyha, prend toi quelque chose à boire aussi, on verra pour la poubelle et le ménage après. »

Elle sortit deux assiettes individuel épargné par l’hécatombe et invita la jeune femme à prendre place à coté d’elle. « J’avais réservé ça pour ce soir, pour essayer de calmer Mike après lui avoir annoncer la nouvelle, mais je crois bien que rien ne pourrait apaiser la situation. J’ai été idiote de penser que le sucre pourrait lui faire oublier à quel point j’ai été idiote. Pas besoin de t’expliquer, tu es une femme, tu as surement remarqué plus vite que mon propre mari. » fini-t-elle par ajouter, en désignant du regard son ventre rebondi, tout en prenant une religieuse au chocolat dans la boite. « Sers-toi, fais toi plaisir. »

Elle ne savait pas pourquoi, il était si facile de se confier à Alyha, peut etre parce qu’elles ne se connaissaient pas beaucoup ou qu’elle ne sentait pas la moindre trace de jugement chez elle.

« Je ne sais pas si tu as déjà été enceinte ou si tu comptes l’être un jour, mais ça rend vraiment dingue de ne pouvoir rien contrôler. Hier, je me suis mise à pleurer en épluchant un concombre. Je repensais à ma carrière, à mes choix de vie… Je ne sais pas, plus ou j’en suis, je serais bientôt une mère seule, divorcé et garder mon travail à la NASA va etre compliqué. Mike n’est même pas le père de cet enfant et à vrai dire je ne suis même pas sûr de savoir moi-même qui il est. Ça promet l’avenir d’une mère exemplaire. Je l’ai tellement attendu ce bébé, que l’option de m’en débarrasser ne m’a même pas traversé l’esprit. Qu’est-ce qu’on va devenir ? Tu ferais quoi toi à ma place ?» Ça lui faisait étrange de le dire à voix haute, rendant sa situation encore bien plus réelle. Demander conseil à quelqu’un d’extérieur pourrait peut etre l’éclairer.

@Alyha Jäger

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@Teresa Stevens @Alyha Jäger

Immédiatement après que Teresa se soit installé, je me met en action. Je n’ai jamais eu de grande difficulté a trouver mes marques dans cette grande maison, car tout y est rangé avec soin. Bien entendu désormais, c’est aussi mon rôle de veiller à ce que chaque chose reste a sa place. Donc je fais un peu comme si j’étais chez moi, trouvant chaque choses du premier coup. C’était un plaisir de travailler dans sa cuisine, ok… peut être pas autant que dans les cuisines du restaurant. Mais c’était tout de même comparable. Alors que je fais chauffer l’eau, juste assez pour que l’infusion soit bonne, mais pas trop pour ne pas brûler les feuilles de thé. J’entends de nouveau la voie de Teresa, et j’avoue que ce qu’elle dit me ferait presque grincer des dents. Je ne partage pas son avis, mes problèmes ne m’empêchent en rien de l’écouter, ou de lui tendre la main. Puis de toute manière, aujourd’hui n’était pas une journée pour m’accabler de toute manière.

« Hé ! Tu sais que tes problèmes de « riche » comme tu dis, ont tout autant d’importance que les miens ». Je dis ces quelques mots en allant chercher une tasse. Je me refuse de la laisser croire que la taille de son compte bancaire minimise ses peines. Ce qu’elle a, elle l’a construit et personne ne peu lui retirer ça. En tout cas c’est ma façon de penser. C’est aussi cette manière de penser qui me pousse a vouloir me construire seule, et a repousser parfois les mains qui se tendent vers moi. Je cherche pas a être prise en pitié, et je devine que c’est ce que Teresa ressens aussi a cet instant. Mais mes intentions envers elle ne sont en rien… Bordel mon raisonnement ressemble trait pour trait a ce que Deagan me disais… Un cas exemplaire de « fait ce que je te dis fais pas ce que je fais » made in Alyha.

Le mouvement de Teresa me sort fort heureusement de mon moment d’introspection, pas le moment pour ça. Et je la vois sortir une belle boites de pâtisserie du frigo. Quand elle me dit de prendre quelque chose a boire, je prends une deuxième tasse pour me faire un thé également. En temps normal j’aurais peut être refusé poliment, mais nous serions toujours beaucoup mieux pour discuter avec du thé et quelques gâteau.
Au moment où je pose les tasses brûlantes sur la table en rejoignant Teresa, elle m’explique que les gâteaux étaient réservés a l’annonce de sa grossesse a son mari. Je ne comprendrais que plus tard pourquoi il s’agit d’une nouvelle qu’il faut adoucir. Même si un petit instinct me souffle l’origine du problème. Avant de répondre a mon tour je prendrais avec plaisir un Opéra magnifique qui se trouvait dans la boite.

« Il ne sait pas ce qu’il rate de toute évidence… et je ne parle pas que des gateaux »
ajoutais-je en coulant un regard entendu vers la femme a mes cotés. A plusieurs reprise lors de nos discussions, ou lors de mes ménages, je m’étaient demandé pourquoi ? Pourquoi ils étaient là ensemble ? Ce qui les poussait a continuer, car je ne sentais pas vraiment le bonheur d’un couple dans leur quotidien. Il passait a coté d’une femme forte et bienveillante, lumineuse également.. Il ne semblait même pas s’en rendre compte. Mais je prends une bouchée de gateau plutôt que de dire tout haut ce qui me passe par la tête. Il est vraiment délicieux…

« Il paraît que les hormones sont difficiles a gérer mais… peut être qu’elles ne sont pas les seules responsables. »

Je marque une pause, pas pour réfléchir a mes envies de bébé. Évidement que je souhaite fonder une famille mais… Là n’est plus, ou n’est pas la question. En vérité je cherche les bons mots pour répondre. Les mots justes, qui correspondent a ma vision des choses, alors qu’un engagement personnel semble s’éveiller en moi. Il n’y a pas pire sentiment que celui de ce sentir seule, je l’ai trop connu au foyer ou quand je vivais avec lui… je refuse qu’elle puisse le penser  a son tour.

« Teresa, tu n’es pas seule. Tu travail a la Nasa justement, tu sais gérer tellement de choses. Tu es capable d’y arrivé et puis… Tu n’es pas seule. Tu peux avoir de l’aide. » Je la regarde avec compassion. «  Tu m’as toujours demandé d’être franche avec toi, et si c’est Mike qui te préocupe, oublie le. Ca marche plus, tu le sais. A vrai dire on se serait peut être même pas connue si ça marchait entre vous. T’es pas heureuse dans ce mariage, c’est peut être l’occasion de te retrouver. »

C’est difficile a dire, mais au travers de nos rencontres les langues se sont déliés plusieurs fois, il est simplement nécéssaire de lui rappeler certaines choses que j’ai pu moi même deviner. Même si ce ne sont peut être pas les mensonges réconfortant qu’elle aurait besoin d’entendre.

« Personne ne t’a demander de renoncer a ton rêve d’être maman, personne n’a le droit de le faire. Si tu as été capable de faire tout ce que tu fais aujourd’hui, si tu adresse a ton bébé autant d’amour que tu met de passion dans ce que tu fais alors tu sera une maman formidable.  Les mamans exemplaire ça n’existe pas, les mamans aimantes sont les meilleures » et j’en savais quelque chose car je n’en ai jamais eu… « Et tu sais, je serais même la première ravie de te soutenir tu sais ? »


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Alyha & Teresa
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Loin de Teresa, l’idée de vouloir embêter les autres avec ses problèmes personnels, mais dans le cas présent, elle n’avait pas d’autre choix que d’en parler. Les heures de ménage de Alyha se transformèrent petit à petit en temps d’écoute et de dégustation de gâteaux en tout genre. Les yeux de la future maman se perdirent dans son thé, pendant qu’elle écoutait les paroles de son interlocutrice.

Elle n’était pas seule certes, mais c’est le sentiment qu’elle ressentait. Il serait facile d’abandonner Mike, tout ce qui l’entourait lui appartenait, le plus grand perdant dans l’histoire ça serait lui. Pourtant, une multitude de raison la poussait à ne pas le faire. Ils vivaient ensemble depuis si longtemps, elle avait élevé les enfants de Mike, bien que ça n’avait pas toujours été facile, notamment avec l’ainée de celui-ci. Un divorce apporterait un tel remu ménage qu’elle n’était pas prête à assumer, pas maintenant, puis à quoi bon ? Ne vivaient-ils pas déjà comme ça depuis le début ? Avaient-ils vraiment été heureux ensemble ? Lui, il l’avait aimé, elle en était certaine, du moins au début, puis il avait compris au fil du temps que les sentiments n’étaient pas réciproque et ils s’étaient mutuellement habitués à cette vie.

« Si seulement tout pouvait être aussi simple. Ça fait bien longtemps que Mike ne me préoccupe plus. Pour etre honnête, c’est à cause de moi tous ça. Quand on s’est rencontré, j’avais 22 ans et lui 42. A l’époque, seule ma carrière m’importait et je me suis laissée charmé par cet homme. Lorsqu’il m’a demandé en mariage trois ans plus tard, je ne pouvais qu’accepter, grâce à ce mariage j'allais rentrer à la NASA. »

Avec le recul, elle avait honte d’avoir sacrifier sa vie personnelle et son bonheur matrimoniale pour sa carrière. Ainsi que de s’être montré égoïste envers cet homme qui méritait d’être avec quelqu’un qui l’aimait à sa juste valeur. « Mike m’a toujours aimé. J’ai l’impression de l’avoir utilisé toutes ses années. » Teresa ne s’était jamais donnée le temps d’essayer d’aimer. Peut etre en avait elle trop dit ? Alyha ne pourrait plus la voir comme la femme dont le mari ne la méritait pas car la vérité était l’inverse.

« Avec Mike nous avons essayé d’avoir un enfant pendant dix ans. » ajouta-t-elle après quelques instant de pause. « Un de mes nombreux caprices. Il avait déjà 4 enfants. Pourtant, le jour où je suis tombée enceinte de lui, tout s’est éclairé, c’est comme si la flamme, s’était enfin allumée entre nous. J’ai compris qu’il était important pour moi et que toute notre histoire n’avait peut etre pas été une erreur. Puis, il y a eu ce jour, ce matin du 18 Septembre où je me suis réveillée avec des douleurs atroces dans le bas ventre. »

Ce souvenir faisait resurgir en elle des sentiments qu’elle essayait de refouler depuis des mois. C’était la première fois qu’elle l’évoquait à voix haute aussi directement, rare était les personnes de son entourage au courant, pas même sa sœur. « J’ai compris que c’était fini, que je l’avais perdu. » Les larmes envahirent ses yeux une bonne fois pour toute, ce souvenir était bien trop douloureux.

« Mike ne s’en est jamais remis, quelque chose s’est cassé définitivement et tout est redevenue comme avant. » Raconter toute cette histoire, son histoire, sonnait étrange à ses oreilles, comme une fiction irréaliste ne correspondant pas à l’image de la femme parfaite qu’elle dégageait de l’extérieur. Elle attrapa la boite de mouchoir posé sur le comptoir et s’essuya les yeux. « Il a ses torts, tout comme j’ai les miens. Le mettre dehors ne changerai rien à tout ça. » Elèverait-il l’enfant de quelqu’un d’autre ? Là, était une question différente, l’idée d’être toute seule pour élever ce bébé la terrifiait. Elle angoissait également de ne pas pouvoir mener à terme cette grossesse considéré comme « à risque » par la science.

Alyha tenta de la rassurer et se proposa même comme soutien. Un soutien précieux que Teresa ne pourrait pas refuser. « Merci » répondit Teresa qui n’avait pas les mots. Comment la jeune femme pouvait-elle lui proposer son aide devant le spectacle pathétique que Teresa venait de lui offrir ?

« Merci d’être là, je ne te remercierai j’aimais assez. Tu es une présence très agréable dans cette maison. Tu es très sérieuse, tu fais bien plus que tu ne devrais faire. Tu mérites un meilleur salaire. Je vais l’augmenter. » Teresa y réfléchissait déjà depuis plusieurs semaines, mais cette situation avait bien fini par la convaincre. Cette fille devait s’en sortir. Comment la vie pouvait elle aussi injuste?

« Les personnes comme toi mérite d’être aidé et si tu as besoin de quoi que ce soit, tu sais que tu peux compter sur mon aide. » Teresa n’osait pas lui proposer trop, elle savait que ça pouvait mettre mal à l’aise et surtout elle ne voulait pas que celle-ci pense qu’elle faisait ça par pitié, s’était très loin d’être le cas . Alyha possédait cette force intérieur et n’avait probablement pas besoin d’aide pour s’en sortir, mais un coup de pouce pour accélérer le processus semblait de rigueur.



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@Teresa Stevens @Alyha Jäger

J’écoute attentivement Teresa, non pas seulement par ce quelle en a besoin. Mais par ce que j’en ai envie. Contrairement à ce qu’elle a l’air de penser, elle mérite toute cette attention. A vrai dire, je n’ai que peu de jugement a porter sur son histoire. Mike et elle n’ont pas vécu l’histoire d’amour que chacun d’eux méritaient. C’est une évidence, mais comment une fille qui se retrouve a la rue pour avoir fuit une histoire d’amour toxique pourrait juger une femme qui a utiliser l’amour comme levier. Nos parcours sont diamétralement différents, c’est une évidence. Mais ce n’est pas pour autant que je ne la comprends pas. Dans ma situation on arrive a un stade de compréhension plus facile, sans jugement. Peut-être qu’a sa place j’aurais fait la même chose.

Par contre sa fausse couche me bouleverse, et je retiens un visage effaré de compassion et de tristesse quand elle en parle. Non, je n’en suis pas au stade de souhaiter devenir maman, ma vie n’a rien de stable et faire un bébé toute seule n’est possible que dans la bible… Mais j’imagine aisément la douleur que peu représenter la perte de son bébé. J’ai mal pour elle, et je devine qu’aujourd’hui la cicatrice qui peine a se refermer est encore douloureuse. J’imagine également que cette fausse couche lui en fait craindre une seconde, ce qui serait parfaitement légitime. Pour son bien a elle, je ne tiens pas forcément a épiloguer sur ce sujet douloureux. Chaque femme redoute l’idée de perdre son enfant, son début de grossesse ne semble pas de tout repos. Se rappeler les moments douloureux ne me semble pas la bonne solution.

- « Vous avez vécu des moments difficiles, des bons, des moins bons. En fait la question n’est pas et na jamais été de savoir qui est le grand fautif de votre histoire. Je suis jeune, mais j’ai déjà au l’occasion d’apprendre a mes dépends qu’on peut trouver milles excuses pour rester malheureuses »

C’était vrai, alors certes sa relation avec Mike ne ressemble pas a celle que j’avais. Ni l’un ni l’autre ne cherchent a couper l’autre du monde, ni l’un ni l’autre ne s’acharne a faire culpabiliser l’autre pour toutes ses actions ou sa façon d’être. Non, a entendre Teresa en parler je dirais simplement qu’ils ont arrêtés de chercher a être amoureux et se sont résolut a cohabiter. Ce qui correspond plutôt bien a ma théorie concernant le fait que l’humain n’est pas fait pour vivre seul.
Mais aujourd’hui il semblerait qu’une nouvelle péripétie viennent faire rebondir leur histoire. Aussi étrange que cela puisse paraître, je me suis rarement sentie autant en paix avec moi même que ces dernières semaines. Pourtant la descente aux enfer aura été brutale…

« Le mettre dehors ne changerait rien, et ça ne réparerait rien. Quand j’ai décidé de partir, quand je l’ai quitté, ou fuis bref… Je savais parfaitement que je n’aurais plus rien, que je partirais a zéro. Je n’avais pas de travail, pas de maison, pas d’argent. Pourtant j’avais l’envie irréprésible de gouter a nouveau au bonheur, a la joie. J’avais besoin de me retrouver. »


En fait je suis pas certaine qu’elle vois ou je veux en venir. Je l’incite pas expressément a quitter son mari, évidement que si elle souhaite tenter de recoller les morceaux elle peut le faire. Je serais même la première a la soutenir. Mais elle même semble résolue a l’idée que l’amour n’existera jamais plus entre eux.
Je prends encore un peu de gateau et ma gorge un peu serrée a l’idée d’être mal comprise s’adoucit instantanément au passage du thé.

« En fait ce que je veux dire, c’est que ce bébé, c’est peut être le signe le plus clair qu’une nouvelle étape de ta vie va commencer. Tu es la seule capable de choisir ce qu’il y a de mieux pour toi, cependant cette réponse tu ne l’auras pas en pesant le pour et le contre. Des contre tu en trouvera toujours crois moi… La réponse elle est dans ton cœur, et c’est peut être celle que tu as en tête, ou celle que tu refuse de t’avouer. Mais c’est la seule réponse. »

Je me trouve bien sage des fois, et en employant mes propres mots je me rends compte que finalement, je suis pas tant partie sur un coup de tête que ça. On choisi pas en 24h qu’il nous manque une partie de nous même, qu’on ressens un vide qui mérité d’être comblé au point de vouloir tout changer.
C’est en buvant une nouvelle gorgée que je réalise soudainement ce que Teresa vient d’annoncer, et pour le coup même si je n’ai pas la meilleure des situations, je ne me sens pas de la laisser faire comme ça.  

« Teresa… Ce moment entre nous n’a rien a voir avec mon travail ici soyons bien d’accord. Je suis vraiment contente d’être utile, mais je veux pas que tu te sente obligée d’en faire plus pour moi. Et puis… en fait je pensais t’annoncer que j’ai été embauché dans un restaurant en ville, en tant que commis  de cuisine débutante ! »

Le moment était venu d’annoncer la nouvelle. Attention, je n’étais pas prête de quitter mes engagements envers Teresa. Ce post ne m’empêchera pas d’être présente pour elle comme je l’ai proposé, et comme je me le suis promis. Mais adoucir ce moment avec une bonne nouvelle qui pourrait au moins la rassuré me concernant était une idée acceptable.

« Je sais que je peux compter sur toi, et je te remercie infiniment. Mais la réciproque existe et je ne t’abandonnerais pas, c’est une amie qui parle, pas ton employée. »


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Alyha & Teresa - Scène de ménage chez les Harry Stevens  5f5f372ae6b35c05b9a15368f4473b42a39a56bb

Âge : 44 ans
Statut civil : Mariée sur le papier
Métier : Scientifique à la NASA
Habitation : Otter Creek
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Rp : Rp's en cours(6/5)COMPLET:

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Rps's terminé:

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Alyha & Teresa
Scène de ménage chez les Harry Stevens



Teresa enchaina les mots, déballa sa vie personnelle, pas qu’il y avait grand-chose à dire, mais surtout qu’elle ne l’avait jamais réellement verbalisé. Toutes ses paroles lui paraissaient étrangère. Il s’agissait de la partie de sa vie qu’elle avait préféré mettre de côté, oublié, détaché comme on enlève un objet qui ne nous plait plus. Mais, la réalité grandissait en elle, bien plus vite qu’elle ne l’aurait souhaité.

Il était impressionnant de voir la maturité d’Alyha dans ses paroles, témoignant d’une histoire de vie qui l’avait poussé à murir bien trop vite. Tout le monde n’avait pas la chance de Teresa d’avoir grandit dans un monde sans inquiétude financière. Elle avait toujours eu un grand respect d’ailleurs pour ces personnes qui arrivait à réaliser de grande chose avec rien. C’est d’ailleurs ça qui l’avait incité à offrir ce poste à cette jeune femme, car tout le monde méritait une seconde chance.

Alyha se mit alors à expliquer que la libération avait démarré pour elle, le jour où elle avait quitté son compagnon. Un message subliminal qui voulait bien dire, ce qu’il voulait dire. Il est vrai que ça serait tellement facile de tout quitter, de tout laisser derrière, mais à quel prix ? Elles n’étaient toute deux pas au même stade de leur vie. Alyha avait encore toute une existence devant elle, quant à Teresa plus les jours passaient, plus les rides apparaissaient sur son visage. Le temps l’avait rattrapé, trouvé une relation stable près un certain âge devenait bien plus compliqué. Du moins, c’est ce qu’elle c’était mise en tête.

Au fond, Teresa savait parfaitement qu’il n’y avait pas cinquante mille options qui s’offrait à elle et qu’un jour ou l’autre, il faudrait quitter l’homme avec qui elle avait partagé quasiment l’intégralité de sa vie. Elle n’en était pas encore à cette étape. En tout cas cette conversation en bonne compagnie lui faisait chaud au cœur.

La proposition d’augmentation de salaire, poussa à une révélation qui illumina le visage de Teresa. Au moins une bonne nouvelle dans cette journée qui avait mal démarré. Elle l’écouta attentivement tout en mangeant une religieuse au chocolat -et un kilo de plus-.

« Je suis vraiment contente pour toi ! Et tu n’as pas à te justifier si tu fais moins d’heure ici. Si tu as trouvé un travail qui te prend du temps, je ne t’en voudrais pas, bien au contraire ! C’est plus intéressant et enrichissant pour toi d’apprendre à cuisiner, que de frotter le sol de ma maison. Ça, je suis capable de le faire toute seule. Par contre, faire des bons plats, ce n’est pas donné à tout le monde ! Et qui sais, quand tu auras acquis de l’expérience, tu m’apprendra et on cuisinera ensemble pour les galas que j’organise. » Ajouta-t-elle avec sa voix habituelle, réussissant en l’histoire de quelques minutes à reprendre ses esprits et ravaler ses angoisses personnelles. Le fait de constater que son amie parvenait à avancer dans la vie, lui donnait de l’espoir. Rien n’était fini, mais encore fallait-il trouver le courage de prendre une décision et c’était surement ça la plus grande difficulté !

« Dans quel restaurant tu vas travailler? Je viendrais y manger à l’occasion. » Elle qui fréquentait pas mal de restaurant, ça lui donnerait une adresse supplémentaire où se rendre.

« Niveau logement tu en es ou ? Tu en a trouvé un ? En tout cas sache que tu es la bienvenue ici pour quelques nuits, si tu en a besoin. » ajouta-t-elle bien qu’elle lui avait déjà proposé, quand elle avait appris que la jeune femme dormais parfois dans sa voiture. Une option qui lui semblait lunaire et même pas envisageable.

La dernière phrase de celle-ci la toucha énormément, il était vrai que depuis le début les deux femmes ne partageaient pas une relation employé/employeur, Teresa avait toujours considéré cette femme comme une amie qui l’aidait à gérer son foyer.
« Merci d’etre là en tout cas. »


@Alyha Jäger

AVENGEDINCHAINS
Alyha Jäger
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Alyha Jäger
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I need some sleep
Amitié ? serais tu la pour guérir le mal d'Amour ?







@Teresa Stevens @Alyha Jäger

Je me doutais que l’idée que je commence à m’en sortir, que je trouve un emploi a temps plein serait une bonne nouvelle. Cependant a aucun moment je n’aurais imaginé quelle serait là pour adoucir la journée… D’ailleurs au début je m’étais sentie un peu gauche en ramenant le sujet a ma personne dans une conversation qui ne m’incluait à aucun moments. Pourtant, a sa manière de renchérir directement, uniquement sur ce sujet, je me demandais si finalement, Teresa n’était pas secrètement en recherche d’un échappatoire a cet instant. Pas que la conversation devienne gênante, mais plus pour penser à autre chose. Laisser son esprit se distraire en sautant sur un autre sujet. Ses problèmes, elle les a en tête en permanence, quoi que j’essaie de faire pour la conseiller ou la comprendre, ils sont toujours là. Alors finalement je comprends facilement, puis, je suis aussi touchée qu’elle se réjouisse de cette nouvelle. J’ai conscience que beaucoup de personnes se seraient enfermé dans leur monde, pour en oublier de penser au bonheur des autres. Teresa n’était pas de ce genre, le cœur sur la main, prête a partager. A cette pensée je prenais d’ailleurs une nouvelle bouchée dans une de ces merveilleuses pâtisseries. Bientôt, je l’espère, ce sera mes réalisations que nous dégusterons autour d’un thé…
«  Je ne cherche pas a me justifier, en fait c’est plus pour m’assurer que tu ne cherche pas quelqu’un pour me remplacer. Désolé Teresa, mais même avec un autre travail je n’ai pas l’intention de te laisser tranquille. » Annonçais-je sur le ton de l’humour, un peu comme le ferait une enfant. Être une bonne amie c’est aussi ça, savoir trouver une place, un moment, pour repartir sur un ton plus léger quand c’est nécessaire. Puis, il faut dire que j’ai toujours été de ce genre là, bon public a la plaisanterie facile également. «  En ce qui concerne les galas, ce sera un véritable plaisir de t’aider ! On passe toujours des bons moments en cuisine. » J’étais convaincue de mes mots, de mon enfance à aujourd’hui, pas une fois le fait de cuisiner ne m’a semblé contraignant. Bien au contraire, tant de bons souvenirs me reviennent quand je pense au simple fait de préparer à manger.
A l’idée qu’elle veuille venir manger au restaurant je suis a la fois excitée, et stressée. C’est toujours particulier de faire à manger pour un proche. Cette envie de satisfaire, de ne pas faire d’impaire et de laisser un souvenir impérissable. Teresa était du genre à croire en moi, une raison de plus qui justifie l’envie de bien faire. En fait l’excitation prime, soudainement je souhaiterais même pouvoir l’inviter. Mais je ne suis pas du genre à faire des promesse que je ne peu pas tenir, du moins pas dans l’immédiat. Alors je me contenterais simplement de donner les information nécessaire à sa venue.
«C’est au restaurant Harmony Heights » Je ne doute pas une seconde qu’elle connaisse l’endroit. Restaurant triplement étoilé, attenant à l’hôtel qui n’en est pas moins réputé. Pour autant,le restaurant est accessible à tous. De plus l’arrivée d’un chef Français avait fait pas mal de bruit. Pour avoir eu l’occasion de rencontrer Luis, pendant, et après le travail, je dois dire que les éloges ne sont pas forcées, et même amplement mérité. J’ai encore du mal a définir mon degré de fierté et de bonheur concernant la place que j’ai pu y trouver. « Je travaille sur la pâtisserie là bas, et … c’est vraiment fantastique en fait ! »

Des étoiles pétillant encore dans les yeux, je renvoie un sourire reconnaissant a Teresa, sachant qu’une fois de plus j’allais refuser. Mais peut être serait-elle satisfaire d’apprendre qu’une personne a réussi a me faire accepter. Enfin… En théorie.. « Pour le logement toujours rien a moi, et tu connais mon avis sur la question. Hors de question d’être hébergé gratuitement. Par contre j’ai peu être trouvé un arrangement avec un chic type qui hâbite vers la scierie. » Je reste un instant songeuse, techniquement ce soir là je lui avait dit que j’acceptais le marcher, sans trop y repenser. M’entendre formuler haut et fort l’idée d’accepter l’offre hébergement de Deagan rendait les choses étrangement plus réelles et concrètes. « Dès que j’aurais les moyens de payer un repas, ou de louer une place, alors j’accepterais d’aller chez lui » finissais-je encore songeuse. Serais-ce une once d’impatience que je sens au fond de mon cœur ?

« Merci a toi Teresa, je sais pas ce que je ferais sans une amie comme toi. »


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